Les amendements de Alain Perea pour ce dossier
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J'entends parler depuis un moment de tout ce que nous ne devrions pas faire et de ce qu'il faudrait faire. Mais je n'y suis pour rien si j'ai trouvé la sous-préfecture de Narbonne vide quand, nouvellement élu député, j'en ai poussé la porte : ce n'est pas la présente majorité qui a vidé les services de l'État. Je veux bien entendre que l'on dev...
Cela dit, une fois ce constat fait, il ne s'agit pas de s'en contenter et de subir la situation. Aujourd'hui, les territoires qui s'en sortent sont ceux qui se prennent en main. J'entends trop souvent dire que l'on va assister les territoires : il faut rompre avec cette logique. Pour notre part, ce que nous voulons, c'est les accompagner pour l...
Cessons de penser que l'aménagement du territoire suppose uniquement de s'adresser au maire – et, je le répète, j'ai exercé ce mandat. Cessons donc de vouloir assister les territoires : accompagnons-les, montrons-nous incitatifs à leur endroit. Cessons aussi de les fractionner en métropoles, d'une part, et territoires ruraux de l'autre,
comme pour reproduire à l'échelle du pays la division de nos villes entre quartiers chics et banlieues. Notre pays doit être uni ; c'est ce à quoi nous voulons parvenir grâce à l'agence.
... grâce à des politiques publiques comme celles que mes collègues ont exposées. C'est à cette condition que l'agence réussira à aller de l'avant.
Au début des années 1990, on pensait que les dysfonctionnements que l'on déploraient venaient de l'École nationale d'administration, l'ENA, basée à Paris. Édith Cresson a alors eu l'idée géniale de transférer cette école à Strasbourg. Je commençais mes études et on nous expliquait que, dès lors que l'ENA était implantée en région, tout allait c...
Arrêtez de nous faire croire qu'une implantation en province permettrait à l'Agence d'être plus proche des réalités du terrain ! Nous savons que c'est faux.