Publié le 30 mai 2019 par : M. Rolland, Mme Anthoine, Mme Bazin-Malgras, M. Bony, M. de Ganay, M. Ramadier, Mme Trastour-Isnart, M. Leclerc, M. Cinieri, M. Nury, Mme Louwagie, M. Descoeur, M. Pauget, M. Viala.
Retiré avant publication.
Ici, l’objectif est de renforcer le pouvoir de police de circulation du maire qui pourra demander au représentant de l’État, donc au préfet, de moduler la règlementation en fonction de la dangerosité de la route concernée.
Bien entendu, le principe de subsidiarité, qui veut que chaque autorité régule à l’échelon le plus adapté, constitue un des principes directeurs de cet amendement. En effet, la commune pourra réguler la vitesse sur avis conforme et motivé du préfet.
Raisonner en termes d’échelons est aujourd’hui un nécessaire démocratique. Imposer une mesure uniforme au territoire n’est plus que très rarement efficace, comme en ont attesté les protestations face à la réforme de la vitesse de circulation à 80 km/h.
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