Publié le 10 septembre 2019 par : M. Bazin.
Compléter l’alinéa 30 par les mots :
« ou de décès d’un de ses membres ».
Il convient de conserver cette disposition du code de la santé publique présente actuellement à l’article L2141‑10.
L’insémination post-mortem pose en effet des problèmes éthiques importants.
A-t-on le droit de faire d’un enfant un orphelin de naissance ?
N’est-ce pas créer une nouvelle inégalité entre des enfants ?
N’est-ce-pas menacer de faire porter sur cet enfant un poids psychologique important où le parent restant pourrait vouloir sans cesse retrouver en cet enfant des ressemblances avec le défunt ?
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