Publié le 22 novembre 2019 par : M. Prud'homme, Mme Autain, M. Bernalicis, M. Coquerel, M. Corbière, Mme Fiat, M. Lachaud, M. Larive, M. Mélenchon, Mme Obono, Mme Panot, M. Quatennens, M. Ratenon, Mme Ressiguier, Mme Rubin, M. Ruffin, Mme Taurine.
Retiré avant publication.
L’article 9 précise ques les éco-organismes doivent prévoir des objectifs de réduction de la mise sur le marché d’emballages et d’emballages plastiques à usage unique.
Nous insistons, au vu de l’urgence, pour la mise en oeuvre de mesures concrètes de lutte contre le suremballage, véritable fléau qui s’impose au consommateur et fait le bonheur de quelques industriels fabricants de plastique.
Les fruits et légumes disposent d’un emballage naturel. A quoi bon imposer au consommateur un emballage plastique sans intérêt ? Certaines chaînes de la grande distribution ont d’ores et déjà mis en place un système de marquage sur les fruits et légumes biologiques pour ne pas recourir au plastique. Découvrir 24 sachets de thé ou de tisane individuellement enrobés de plastique masqué par un emballage collectif cartonné est désagréable, en plus d’être nocif à la planète. La même question se pose pour les gâteaux vendus par petites unités et les petits sachets de confiseries.
Nous proposons donc de les interdire.
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