Publié le 9 octobre 2019 par : Mme Granjus, M. Sorre, M. Damaisin, Mme Hai.
Cet amendement a été déclaré irrecevable après diffusion en application de l'article 98 du règlement de l'Assemblée nationale.
Les victimes de violences conjugales sont souvent prisonnières de leur relation avec l’auteur des violences. La confrontation entre le mis en cause et la victime peut être extrêmement mal vécue par la victime, qui peut l’interpréter comme un désaveu de sa parole ou craindre sa confrontation avec son agresseur. Il convient donc de s’assurer, si la confrontation est indispensable, que la victime puisse être accompagnée d’un psychologue assermenté.
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