Publié le 20 novembre 2019 par : M. Corbière, Mme Autain, M. Bernalicis, M. Coquerel, Mme Fiat, M. Lachaud, M. Larive, M. Mélenchon, Mme Obono, Mme Panot, M. Prud'homme, M. Quatennens, M. Ratenon, Mme Ressiguier, Mme Rubin, M. Ruffin, Mme Taurine.
Cet amendement a été déclaré irrecevable après diffusion en application de l'article 98 du règlement de l'Assemblée nationale.
Nous demandons la réactualisation des plans de prévention des risques. Ceux-ci doivent intégrer les effets attendus du réchauffement climatique. Les inondations et crues d’une intensité cruelle auxquelles sont confrontés les départements du Sud de la France sont indissociablement liés aux bouleversements climatiques. Plus généralement, des études scientifiques attestent de l’ampleur des impacts à venir (en matière de montée des eaux notamment), et plus généralement des conséquences sur l’habitabilité des lieux et l’exposition des populations et des sites sensibles. La planification implique l’anticipation de ces risques.
Au-delà des seuls risques naturels et technologiques et dans un contexte général de dérèglement climatique, il s’agit de préparer les communes à faire face à des chocs ou des stress identifiés mais aussi à l’imprévisible. Pour cela, les communes doivent se doter de stratégies de résilience et de coopération entre les territoires.
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