Publié le 27 janvier 2020 par : M. Chiche, M. Baichère, M. Touraine, Mme Thomas, Mme Lenne, M. Taché, Mme Bergé, M. Chalumeau, M. Belhaddad, M. Damaisin, M. Simian, Mme Bureau-Bonnard, M. Testé, Mme Cariou, M. Kerlogot, M. Travert, Mme Tuffnell, Mme Leguille-Balloy, Mme Mörch.
Cet amendement a été déclaré irrecevable après diffusion en application de l'article 98 du règlement de l'Assemblée nationale.
En France une femme meurt tous les 2 jours 1/2 sous les coups de son conjoint, ex-conjoint, partenaire de pacs, ex-partenaire de pacs ou concubin, ex-concubin.
Les violences faîtes aux femmes et plus particulièrement au sein du couple constituent une problématique que l’on retrouve très souvent au cœur des interventions des professionnels qu’ils soient des professionnels de l’enfance, de la santé, de la police, de la gendarmerie ou des travailleurs sociaux.
Les jeunes femmes sont les premières victimes des violences conjugales d’où l’importance de communiquer les informations essentielles aux femmes et aux hommes sur les violences conjugales au moment de leur mise en couple.
Aujourd’hui, les violences conjugales sont encore un tabou. Au-delà de l’importance de la formation des professionnels en lien avec les victimes de violences conjugales et de l’enseignement destiné aux jeunes afin de les sensibiliser, il apparaît également essentiel de systématiser l’information via l’assurance maladie.
En effet, les victimes de violences conjugales sont deux fois plus touchées par les maladies chroniques et trois fois plus touchées par les maladies psychiques.
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