Publié le 28 juin 2020 par : Mme Rossi, M. Damien Adam.
Cet amendement a été déclaré irrecevable après publication en application de l'article 98 du règlement de l'Assemblée nationale
Amendement suggéré par l’association internationale DAFOH (Doctors against forced organ harvesting)
Compte-tenu de l’augmentation constante du nombre de maladies nécessitant une transplantation et des listes d’attentes grandissantes, les malades français, grâce à la mondialisation et Internet, peuvent trouver des solutions rapides pour traiter leurs problèmes médicaux. Cela ouvre un marché de la transplantation occulte et incontrôlée où non seulement le prélèvement d’organes pourrait ne pas respecter les normes éthiques, mais où les citoyens Français sont également exposés à des risques sanitaires inconnus.
Le présent amendement vise à permettre à l’Agence de la Biomédecine, conformément à ses missions définies à l’article L1418‑1 du code de la santé publique et plus particulièrement à son 6° : « De mettre en œuvre un suivi de l’état de santé des donneurs d’organes ».
De fait, si des patients sont greffés à l’étranger hors circuits légaux, ceux-ci pourront ainsi être connus par la traçabilité simple des médicaments anti-rejets nécessaires dans le cadre d’un traitement post-greffe. Aussi il sera possible d’obtenir des chiffres clairs en matière de patients greffés à l’étranger, tous circuits confondus.
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