Publié le 2 juillet 2020 par : Mme Wonner.
À l’alinéa 2, supprimer le mot :
« ne ».
Cet amendement vise à permettre aux personnes nées de gestation pour autrui à l’étranger d’établir leur filiation avec les parents qui souhaité leur venue au monde afin de se conformer aux exigences de la Cour européenne des droits de l’homme et de ne pas faire peser sur ces enfants des conséquences liées à leur mode de conception, au sujet duquel, par définition, ils n’ont rien décidé.
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