Publié le 26 mai 2020 par : Mme Lorho.
À la première phrase de l’alinéa 3, substituer aux mots :
« huit jours »
les mots :
« quinze jours calendaires ».
La perte d’un enfant est un drame qui affecte l’ensemble de la cellule familiale. L’organisation des funérailles et les démarches inhérentes à la perte d’un proche - et notamment d’un enfant - sont aussi longs qu’ils sont pénibles. Il semble donc légitime d'allonger le délai du congé.
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