Publié le 12 octobre 2020 par : Mme Rixain, M. Baichère, M. Templier, Mme Jacqueline Maquet, M. Borowczyk, Mme Hammerer, Mme Leguille-Balloy, Mme Gayte, M. Matras, M. Gouffier-Cha, Mme Vanceunebrock, Mme Le Peih, Mme Panonacle, Mme Charvier, Mme Romeiro Dias, Mme Provendier, M. Claireaux, Mme Couillard.
Cet amendement a été déclaré irrecevable après diffusion en application de l'article 98 du règlement de l'Assemblée nationale.
Le coût de la contraception demeure un frein majeur à son recours. Les jeunes filles majeures, notamment les 18-25 ans, souvent concernées par la précarité, ne bénéficient pas de dispositif facilitant la prise en charge financière de leur contraception et de lui suivi gynécologique. Les conséquences sont directes sur l’accès à la contraception dont la charge repose quasi uniquement sur les femmes. Depuis 2013, la contraception est gratuite pour les jeunes filles de 15 à 18 ans, une mesure étendue cet été au moins de 15 ans au regard de son efficacité. Aussi les jeunes de 18 à 25 ans doivent également pouvoir bénéficier de cette gratuité. C’est l’objet de cet amendement qui entend ainsi répondre à la précarité des jeunes, lutter contre le renoncement aux soins, et renforcer la prévention contre les IST et les grossesses non désirées.
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