Publié le 13 octobre 2020 par : M. Belhaddad, M. Cormier-Bouligeon, M. Cédric Roussel, M. Haury, M. Templier, Mme Pitollat, Mme Charrière, Mme Hammerer, Mme Leguille-Balloy, M. Matras, M. Ardouin, M. Delpon, Mme Sylla, Mme Khedher, Mme Bureau-Bonnard, Mme Tanguy, M. Michels, M. Lauzzana.
Cet amendement a été déclaré irrecevable après diffusion en application de l'article 98 du règlement de l'Assemblée nationale.
Ce rapport sur les indicateurs médico-économiques est fondamental pour avancer sur le sujet de façon encore plus concrète. Car la prescription d’activités physiques à des fins thérapeutiques n’est pas une dépense supplémentaire pour les finances publiques, mais un investissement sur l'avenir et sur les économies générées.
Rappelons que le coût de la sédentarité et des maladies chroniques est estimé en France à 17 milliards d'euros par an. Un accroissement de la pratique sportive de 10% engendrerait une économie de 600 millions d'euros. Une activité physique et sportive (APS) régulière, progressive et encadrée permet d'éviter 30% des maladies cardio-vasculaires, 20 à 25% des cancers du sein ou du colon, 50% des diabètes de type 2 et 30% des AVC. Elle réduit aussi les risques de la maladie d'Alzheimer et retarde de 7 à 10 ans la survenue de la perte d'autonomie.
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