Droit à une fin de vie libre et choisie — Texte n° 4042

Amendement N° 228 (Sort indéfini)

(5 amendements identiques : 630 1063 1179 1693 1943 )

Publié le 1er avril 2021 par : M. Breton.

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Texte de loi N° 4042

Après l'article 1er

Le quatrième alinéa de l’article L. 1110‑5-2 du code de la santé publique est complété par les mots : « à laquelle il peut associer une sédation profonde provoquant une altération de la conscience, maintenue si nécessaire jusqu’au décès ».

Exposé sommaire :

Le fait que le patient ne puisse exprimer sa volonté exige une vigilance accrue de la part du personnel médical et soignant en vue d’agir à son bénéfice. L’analgésie vient précisément éviter toute douleur au bénéfice du doute. La sédation profonde peut s’avérer inutile si le patient est déjà inconscient ou abusive si ce n’est pas le cas. Semblablement, toute situation n’exige pas de maintenir une sédation profonde jusqu’au décès.

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