Publié le 16 avril 2018 par : Mme Lorho.
Supprimer cet article.
L'ordonnance de la visite à résidence de l'étranger ne saurait voir son délai d'exécution réduit dans un contexte de croissance du terrorisme et à l'heure où les différents services de police assistent à la diminution de leurs moyens. La diminution de 7,10 % des crédits affectés à la lutte contre l'immigration irrégulière (voir GOUREVITCH, Dossier spécial de Contribuables Associés - Mars 2018) s'en fait un inquiétant écho.
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