Les amendements de Bérengère Poletti pour ce dossier

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L'émotion suscitée par les dispositions de l'article 27 est liée à l'intensité des difficultés que rencontre actuellement le monde agricole français. Les exploitations sont en grande difficulté, les agriculteurs très malheureux. Il fallait vraiment oser engager une telle réforme, alors que les chambres d'agriculture constituent un soutien local...

Notre collègue Bertrand Pancher et moi-même sommes tous deux coprésidents du groupe d'études sur la coopération au développement. Comme tels, nous sommes attentifs aux moyens qui y sont consacrés. L'amendement vise à prélever 1,63 milliard d'euros sur les recettes issues de la taxe sur les transactions financières en vue de les allouer à l'aid...

… qui nous permettrait, si elle était tenue, d'aider des pays partenaires de la France à traiter des enjeux énormes, tels que la préservation de l'environnement ainsi que l'accès à l'éducation et à la santé, est vaine.

Au demeurant, ce que nous proposons pour l'aide publique au développement française est ridicule au regard des réalisations de nos voisins européens. J'espère vraiment que nos collègues nous suivront.

Le Président de la République n'a pas lancé en l'air sa promesse d'augmenter l'aide publique au développement ! Il savait très bien quels montants cela représentait, et j'imagine qu'il a réfléchi aux mécanismes susceptibles d'alimenter cette augmentation. À ce jour, pourtant, les crédits de paiement n'ont même pas crû de 500 millions d'euros. ...

Je le répète, il est très clair que la France n'atteindra pas l'objectif de 0,55 % de RNB consacré à l'aide publique au développement à la fin du mandat.