Les amendements de Cécile Untermaier pour ce dossier

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Je n'ai pas bien compris pourquoi le mien ne serait pas retenu. Il convient de supprimer la limite de deux réunions par an, et c'est ce que prévoit mon amendement.

Je ne retire pas mon amendement parce que j'aimerais bien avoir une explication. Le rapporteur est favorable à l'amendement de notre collègue Labaronne, qui appelle à déterminer la fréquence des réunions dans le pacte de gouvernance. J'en suis ravie mais il s'ensuit que le mien, qui supprime la contrainte des deux réunions par an, devrait être ...

Le pacte de gouvernance obligatoire dont nous étions partisans aurait nécessairement abordé plusieurs sujets déterminés, dont la manière d'associer les citoyens à la politique menée au niveau de l'intercommunalité. Dans cet esprit, le présent amendement, auquel j'ai fait allusion lors de mon intervention dans la discussion générale, complète l'...

Je me suis déjà exprimée sur le sujet, mais je tiens mes promesses : il s'agit de rendre obligatoire l'adoption du pacte de gouvernance.

À la dernière phrase du quatrième alinéa de l'article, je vous propose d'écrire « Si l'organe délibérant décide d'un tel pacte, il l'adopte dans les neuf mois [… ] », plutôt que « Si l'organe délibérant décide l'élaboration d'un tel pacte, il l'adopte dans les neuf mois [… ] ».

Le groupe Socialistes et apparentés propose un délai de six mois, c'est-à-dire un délai identique à celui dont disposent les EPCI pour établir leur règlement intérieur – je vous rejoins sur ce point, monsieur le ministre. Neuf mois, c'est trop long. L'élaboration du pacte ne doit pas devenir une usine à gaz ; c'est un dossier dont il faut se s...

… mais un délai aussi long n'est pas possible. Nous considérons, pour notre part, qu'un délai de six mois est raisonnable.

Cet amendement reprend l'article 1er bis de la proposition de loi de M. Jean-Pierre Sueur et des membres du groupe socialiste et républicain visant à améliorer la représentativité des conseils communautaires et à mieux associer les conseillers municipaux au fonctionnement de l'intercommunalité, que le Sénat a adoptée le 24 janvier 2019. Par ce...

Pour abonder dans le sens de mon collègue Schellenberger, un tunnel de 30 % répondrait à un véritable besoin – qui s'est exprimé dans ma circonscription de manière extrêmement pressante.

Certes, monsieur le ministre, mais si le législateur fait preuve d'opiniâtreté et d'insistance auprès du Conseil constitutionnel, il peut aussi faire évoluer les choses. La décision en cause date de 2014, et la jurisprudence est faite pour évoluer ! Sur ce point, je rejoins Philippe Bas. Vu le rééquilibrage actuel, où l'espace rural en tant qu...

Certes, nous courrions le risque d'une censure de la part du Conseil constitutionnel, mais nous ne ferons évoluer la jurisprudence de ce dernier qu'en exprimant avec force la volonté de nous dégager des contraintes liées au calcul de la population pour aboutir à une représentation qui réponde aux besoins exprimés par les élus.

Très proche de l'amendement no 1513, il vise à assurer une articulation logique entre la conférence des maires – ou, à défaut, le bureau – et le pacte de gouvernance passé avec l'intercommunalité.