Les amendements de Célia de Lavergne pour ce dossier

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Je partage votre préoccupation, mais comme je l'ai rappelé précédemment, il n'existe pas de référentiel qui permette de mesurer de manière simple le caractère transformé des produits alimentaires, même si, grâce à l'ANSES, nous en serons dotés d'ici à la fin de l'année. Il en est de même s'agissant des additifs ou des colorants. Par ailleurs, ...

L'amendement de Mme Lemoine prévoit que les collectivités volontaires – que nous voulons faire adhérer largement à l'expérimentation – se fassent connaître auprès du représentant de l'État et qu'elles lui communiquent les critères retenus pour en faciliter l'évaluation. Or ces critères seront communs à toutes les collectivités et il n'appartien...

Je tiens à vous rassurer quant aux précautions déjà prises par l'État pour assurer l'équilibre nutritionnel des repas : le PNNS prévoit que des recommandations soient élaborées avec des nutritionnistes et des diététiciens ; par ailleurs, l'arrêté du 30 septembre 2011 – qui devrait être actualisé d'ici à la fin de l'année, comme l'a annoncé M. l...

Nous reprenons ici un débat déjà bien avancé concernant les aliments transformés. Le problème est qu'à ce jour, les ingrédients ultratransformés ne sont pas définis – ils le seront d'ici à la fin de l'année, comme je vous l'ai déjà indiqué. Notez qu'à l'article 60, l'amendement n° 7233 de Mme Melchior vise à intégrer le caractère transformé des...

Je partage entièrement vos propos, monsieur Chassaigne. En commission spéciale, nous avons débattu de la possibilité d'introduire les produits relevant du PAT dans la commande publique, en particulier dans la liste des 50 % de produits durables au titre de la loi ÉGALIM. La difficulté est que, par définition, les produits relevant du PAT sont t...

Il prévoit la tenue d'une concertation régionale entre le représentant de l'État, les collectivités territoriales et leurs groupements, afin d'accélérer l'introduction de menus végétariens dans les cantines des lycées, des collèges et des écoles.

Bravo à l'école du cours Julien de Marseille pour son inventivité ! Pour servir des menus à base d'insectes, toutefois, il faudrait qu'il existe une filière de production de tels aliments, capable d'approvisionner les cantines de manière fiable. Nous n'en sommes pas là, mais vous remercierez les enfants pour leur inventivité. Mon avis est donc ...

Je perçois votre soutien au monde de la chasse et aux produits de venaison. Néanmoins, vous conviendrez que leur inscription dans les menus des cantines représenterait une contrainte pour les gestionnaires et pourrait s'avérer complexe, en particulier dans certains territoires. Votre proposition soulève également des questions de coût et de for...