Les amendements de Christian Jacob pour ce dossier

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Je veux revenir sur plusieurs arguments précédemment développés, et appeler l'attention de nos collègues du groupe La République en marche : comme chacun d'entre nous, ils constatent que beaucoup de territoires, en France, ont le sentiment légitime d'avoir été oubliés. Souvent cantonnés à l'ombre des grandes métropoles, ils se disent que les in...

… plus large, car il contribuerait à l'accompagnement de projets d'intérêt général. Dans cette enceinte, nous votons des crédits et exerçons une mission de contrôle. Au nom de quoi nous interdirions-nous de contrôler l'utilisation des crédits que nous votons ? Car c'est bien de cela qu'il s'agit ! Je comprends, pour avoir présidé dans les « a...

Et l'introduction d'une dose de proportionnelle pénalisera encore les territoires ruraux, car les candidats qui conduiront les listes n'en seront pas issus : ce seront les personnalités les plus connues, qui souvent exerçaient des responsabilités dans les grands pôles urbains !

Dans le contexte d'une telle déconnexion des territoires ruraux, nous demandons seulement de pouvoir contrôler les budgets que nous votons.

J'interviendrai dans le même esprit. Tous les groupes sont divisés sur la question de savoir si on continue ou si on arrête nos travaux. Nous penchons plutôt pour les arrêter après l'examen du projet de loi, car 300 amendements ont été déposés sur le projet de loi organique et nous aurons du mal à réaliser un travail sérieux. En revanche, nos c...

Il me semble légitime qu'ils puissent voter dès maintenant sur le projet de loi. Je souscris à la proposition formulée par Olivier Faure. Il est très souvent arrivé que l'on réunisse la Conférence des présidents lorsque notre hémicycle a connu des moments un peu difficiles. On peut la réunir à n'importe quelle heure et prendre la décision de sé...

Monsieur le président, tous les groupes, du moins tous ceux qui sont restés dans l'hémicycle, ont fait des efforts pour que la séance se passe relativement bien, à propos d'un texte qui aurait pu générer des tensions. Mes collègues ici présents ont siégé quatre jours et trois nuits. La moindre des choses serait qu'ils puissent se prononcer sur ...

… pas toujours sous la présidence du président de l'Assemblée – et je n'ai pas besoin de remonter loin dans le temps pour en trouver : sous la précédente législature, il est arrivé plusieurs fois que ce ne soit pas Claude Bartolone qui préside la Conférence des présidents, mais un vice-président.

C'est donc tout à fait possible. Ce point de blocage est stupide. Monsieur le président, j'entends bien que le plateau vous donne un certain nombre de conseils, et c'est normal. Mais vous pouvez aussi prendre vos responsabilités de vice-président !

Ce n'est pas aux hauts fonctionnaires du plateau – pour lesquels j'ai le plus grand respect – de dicter systématiquement la ligne politique ! La ligne politique, dans cette assemblée, ce sont les députés qui la fixent ; c'est vous qui assumez la présidence ; c'est à vous de réunir la Conférence des présidents, en ayant obtenu pour cela le feu v...

Le ministre chargé des relations avec le Parlement n'est pas là. Le président du groupe REM n'est pas là. Le président de Rugy n'est pas joignable. Les membres de son cabinet ne sont pas joignables. Il y a des limites, tout de même !