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Mobilités


Les interventions de Christian Jacob


Les amendements de Christian Jacob pour ce dossier

8 interventions trouvées.

Je voudrais reprendre les différents éléments qui viennent d'être exposés. Tout d'abord, nous n'interdisons à personne de prendre les transports en commun – ce qui nous conduirait en effet à déroger aux conventions internationales. Nous n'allons pas dans cette direction, contrairement à ce que disait M. Lecoq. Ensuite, nous parlons bien ici d...

Vociférez autant que vous voulez, mais regardez les résultats des dernières élections, vous arrêterez de ricaner. La réalité, c'est qu'au détriment…

Monsieur le président, je ne peux pas m'exprimer ! Mes chers collègues, je pense que nous devrions arriver à nous écouter. Lorsque vous prenez des mesures en faveur de personnes qui sont en situation irrégulière, c'est au détriment des gens, les Franciliens en particulier, qui sont, eux, en situation régulière et qui voyagent tous les jours po...

C'est un choix : vous soutenez des mesures prises en faveur de gens qui n'ont aucune raison de demeurer sur notre territoire. C'est tout de même d'une indécence folle ! Et c'est ce qui suscite des réactions comme celles des dernières élections.

Ce que nous demandons, c'est que les autorités organisatrices de transports puissent décider librement de ces dispositions. Cela me semble frappé au coin du bon sens ! Nous ne mettons en cause aucune convention internationale…

… en disant à quelqu'un qui n'a pas le droit d'être sur notre territoire qu'il doit payer ses titres de transport, ou bien rester chez lui. C'est du bon sens !

J'ai un regret, monsieur le président : j'aurais bien aimé un scrutin public sur cet amendement. Je l'ai demandé, mais trop tard semble-t-il, à quelques secondes près. Soit, c'est le règlement. Mais il aurait été amusant que, sur un tel sujet, chacun assume ses responsabilités.

Monsieur le président, à la demande unanime de l'Assemblée, peut-être pourriez-vous accepter un scrutin public ? Tout le monde est d'accord, faites-le, monsieur le président !