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Questions au gouvernement


Les interventions de Damien Adam


Les amendements de Damien Adam pour ce dossier

22 interventions trouvées.

Ma question, à laquelle j'associe mes collègues Anne-Laure Cattelot et Béatrice Descamps, s'adresse à Mme Agnès Pannier-Runacher, ministre déléguée chargée de l'industrie. Le groupe Vallourec a annoncé, la semaine dernière, la suppression de 1 050 emplois dans le monde, dont 350 en France, notamment à Saint-Saulve, à Aulnoye-Aymeries et, dans ...

Nous connaissons les difficultés rencontrées par Vallourec, entreprise spécialisée dans la fabrication de tubes en acier sans soudure sur le marché peu porteur du pétrole et du gaz. Le groupe, très endetté, avait déjà subi une restructuration en 2016 avec l'entrée au capital de Bpifrance pour le sauver de la faillite. À cette situation structur...

Si la crise de la covid-19 est une épreuve difficile pour l'industrie, notre majorité en fait aussi une opportunité pour recréer de l'emploi et de l'activité. La reconquête industrielle est une de nos priorités, avec la baisse de 10 milliards d'euros des impôts de production ainsi que les aides à la relocalisation et au développement industriel...

Afin de préserver la vocation industrielle de la métropole de Rouen et sauvegarder un maximum d'emplois sur le territoire dont je suis élu, comment le Gouvernement compte-t-il favoriser l'implantation et le développement de nouvelles activités sur le site de Déville-lès-Rouen ?

Ma question s'adresse à Mme Élisabeth Borne, ministre de la transition écologique et solidaire. Le 26 septembre 2019, en pleine nuit, à Rouen, un incendie d'une ampleur exceptionnelle touchait l'usine Lubrizol et son voisin Normandie Logistique. Nous n'avons pas oublié les images du panache de fumée qui s'est formé au-dessus de la ville et qui...

Ma question, à laquelle j'associe l'ensemble des élus de la Seine-Maritime, parlementaires et élus locaux, s'adresse à Mme la ministre de la transition écologique et solidaire. Jeudi dernier, vers cinq heures trente, les Rouennais se sont réveillés en sursaut quand de très fortes explosions ont retenti en provenance de l'usine Lubrizol, située...

En tant que Rouennais, résidant juste sous le lieu du passage du panache de fumée, je me fais le relais devant vous, madame la ministre, de l'inquiétude des habitants de la Seine-Maritime et de Rouen, sans pour autant tomber dans l'exploitation politique que veulent en faire certains élus qui n'hésitent pas à agiter les peurs.

Concernant la sécurité, tout d'abord, l'information des habitants et des élus n'a pas été à la hauteur dans les premières heures de l'incendie. Nos systèmes d'alerte ne sont plus adaptés à nos modes de vie connectés, où les réseaux sociaux ont pris tant d'importance.

Il faudra en tirer toutes les conséquences et moderniser nos procédures pour que la transmission d'information soit plus rapide et efficace. Concernant la santé, ensuite, les habitants des villes traversées par la fumée sont inquiets, malgré les nombreuses analyses rassurantes mises à la disposition du grand public. À ce sujet, je salue la déc...

Vous avez annoncé la transparence ; elle est indispensable, de même qu'un suivi de la population sur le long terme.

Concernant l'environnement et l'agriculture, enfin, si les analyses de l'air ne font pas apparaître de nocivité particulière des fumées, la suie qui s'est répandue le long du panache pose question, notamment pour les cultures.

Pouvez-vous nous donner des perspectives sur les prochaines étapes, alors que des enquêtes administrative et judiciaire sont ouvertes, en attendant le lancement d'une nécessaire action parlementaire ?

Monsieur le ministre de la transition écologique et solidaire, qu'ont en commun Dominique Voynet, Marie-George Buffet, Nicolas Dupont Aignan, Nicolas Sarkozy et Ségolène Royal ? Candidats à l'élection présidentielle de 2007, ils ont tous signé le pacte écologique de Nicolas Hulot.

Cette taxe avait vocation à augmenter tous les ans, afin de modifier progressivement les comportements, de financer la transition écologique et de réduire la consommation de combustibles fossiles.

Le président Sarkozy étudiera sa mise en oeuvre lors du Grenelle de l'environnement et elle sera finalement instaurée sous le quinquennat Hollande, en 2014.

Dans le contexte d'une forte augmentation du prix du baril de pétrole depuis un an – de 40 dollars en juin 2017 à 80 dollars en septembre 2018 – et d'un nécessaire alignement de la fiscalité du gazole sur celle de l'essence, évoqué dès 2001 mais jamais effectué, par manque de courage politique, nous assumons cette transition écologique voulue e...

Aujourd'hui, face au coût écologique des transports, qui représentent 40 % des émissions de CO2 en France, et aux incertitudes quant à l'évolution future du prix du baril de pétrole, nous devons aller plus vite dans la transition de notre parc automobile.

C'est la feuille de route de la majorité, avec le renforcement du bonus écologique qui doit intégrer les hybrides dès janvier prochain, le soutien à l'acquisition de véhicules électriques et la prime à la conversion, qui va jusqu'à 2 500 euros et a bénéficié, cette année, à 300 000 personnes, dont 70 % de foyers non imposables, dépassant ainsi ...

Monsieur le ministre, pour aller encore plus loin, il ne faut pas aider les automobilistes à faire leur plein, mais les inciter à changer de comportement et à choisir des véhicules plus propres, qu'ils soient issus de milieux modestes, aisés ou de la classe moyenne.

Pour cela, le Gouvernement a lancé des négociations avec les constructeurs automobiles pour qu'ils participent à la prime à la conversion. Où en êtes-vous aujourd'hui ?