Les amendements de Didier Paris pour ce dossier
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Nous pouvons au moins être d'accord sur le fait qu'il existe des zones d'ombre autour de la commission d'actes terroristes mais nous divergeons profondément sur les solutions qui permettent de les éclairer. Deux questions à propos des amendements déposés par le groupe Les Républicains : la rétention administrative pour qui, selon quels critère...
Quoi qu'il en soit, nous ne souhaitons pas diviser les Français et la meilleure façon d'y parvenir, monsieur Coquerel, c'est de respecter les principes fondamentaux du droit ; c'est ce que nous vous proposons, tout simplement.
Nous avons évoqué assez longuement en commission des lois cette question. Il me semble qu'elle procède d'une incompréhension. On peut parfaitement accepter l'idée que la raison pour laquelle on place des personnes sous une surveillance particulière doit être particulièrement motivée. Mais l'on ferait une erreur en pensant que l'important est la...
C'est donc bien l'office du juge, comme l'a dit le rapporteur, qui doit prévaloir. C'est lui, en fonction de l'ensemble des éléments dont il dispose – sur lesquels il est particulièrement vigilant, l'état d'urgence nous l'a largement démontré, je le rappelle – , qui va permettre d'arriver au but : celui de prévenir les exactions susceptibles d'...
L'assignation à résidence permet une bien meilleure surveillance, tout comme le dispositif de rétention dont nous parlions tout à l'heure ou les mesures d'incarcération directe. Allons droit au but : avec ces mesures, au moins, on sait où se trouvent ces individus et l'on sait comment les surveiller. Le problème, c'est que nous n'en sommes pas...
Nul ne conteste le fait que la République doit se protéger. Elle le fait par tous les moyens de droit à sa disposition et s'adapte à la réalité tant de la menace que des comportements. Elle agit évidemment de manière proportionnée, comme nous avons largement pu le constater aujourd'hui. Les services de police ont à connaître de situations inte...