cosignée par Louis Aliot, Bruno Bilde, Sébastien Chenu, Marine Le Pen & Ludovic Pajot
Mesdames, Messieurs, Depuis plus de cinq années maintenant, les établissements français de crédit ainsi que les sociétés de financement continuent à bénéficier de ressources rémunérées à des taux extrêmement réduits.
On pourrait donc s'attendre à ce que les entreprises ainsi que les particuliers bénéficient corrélativement de crédits à des coûts particulièrement bas.
Or, sur la place de Paris tout au moins, les emprunteurs sont très loin de disposer de ressources dont le niveau répercuterait le résultat recherché par la stratégie publique de « quantitative easing ». Ainsi, en France tout au moins, les politiques monétaires non conventionnelles sont loin d'avoir eu l'effet d'entraînement attendu pour la relance de l'investissement et de la consommation dans notre économie.
La raison de cette situation atypique est également connue : en effet, le système financier français pratique des marges disproportionnées entre le coût de ses ressources et le re...
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