Les amendements de Dominique Potier pour ce dossier
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Il s'agit de rendre les surcoûts supportés par le secteur du bâtiment à cause de la crise du covid déductibles de l'impôt sur les sociétés. Cet amendement génial et très raisonnable par rapport à ce qui a été proposé précédemment devrait rassembler la majorité des suffrages.
Le groupe Socialistes et apparentés avait soutenu le PLFR 1, s'est abstenu sur le deuxième et malheureusement, à l'issue des débats, s'abstiendra aussi sur le troisième. Nous avons le sens des responsabilités mais aussi un esprit critique qui reste acéré sur trois points essentiels. Le premier est la temporalité. Pour l'avoir constaté sur l'en...
Sur le plan climat, nous avons proposé des mesures étayées et publié le document le plus fourni. Mais au lieu de travailler à ciel ouvert, chacun a travaillé de façon souterraine, dans son couloir, et nous n'avons pas été capables de reconnaître le caractère constructif et innovant de propositions telles que les nôtres. Cette déconvenue démocra...
Je suis surpris de l'argument technique du rapporteur général concernant la surface d'un espace de vente par rapport à celle des entrepôts. C'est très étonnant, parce que sur de très petites surfaces, celles d'un artisan, d'un paysan, d'une TPE, on sait distinguer la partie privée de la partie professionnelle et taxer celle-ci. Je ne vois pas c...
L'enjeu ne tient pas seulement à la concurrence déloyale et à la destruction d'emplois. Il y a, au niveau de la production agricole et de l'ensemble des PME, une concurrence déloyale qui écrase les prix et les producteurs, dans une disproportion totale qui conforte l'oligarchie des principaux donneurs d'ordre dans les achats. Cette concurrence ...
Après la leçon de concision que vient de donner le président de la commission des finances, j'hésite à le défendre, mais, n'ayant pas encore pris la parole sur ce texte, je m'y risquerai tout de même. C'est un amendement global, qui ne concerne pas les chaussures, les embrayages ou que sais-je, mais l'économie circulaire dans son ensemble. Nou...
La seule chance de l'Europe est de protéger ses matières premières secondaires et d'organiser leur recyclage, lui-même source d'emplois, de développement plus écologique et d'amélioration du bilan carbone. Après une crise économique et écologique à l'issue de laquelle le Président de la République nous invite à nous réinventer, nous ne sommes ...
Nous y sommes – et pendant une période de crise. Si nous ne changeons pas maintenant, nous ne changerons jamais. Il n'y a aucune contradiction, monsieur le rapporteur général, entre l'urgence économique et l'urgence écologique – ou alors, vous vivez vraiment dans le monde d'avant.