Interventions sur "jeunesse"

3 interventions trouvées.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaSabine Rubin :

Par cet amendement, nous demandons que l'enseignement agricole public soit doté de crédits supplémentaires afin qu'à la suite de la réforme du lycée et du bac, chaque établissement puisse proposer un minimum d'enseignements facultatifs. Monsieur le ministre de l'éducation nationale, de la jeunesse et des sports, vous prônez une école à la carte, mais vous n'ignorez pas que la carte n'est pas la même d'un restaurant à l'autre ; il en va de même pour les établissements scolaires, en particulier pour les lycées agricoles. Cela pose problème : soit les élèves sont obligés de s'inscrire dans un autre établissement, avec des temps de transport importants qui pèsent sur la qualité de leurs études...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaBéatrice Descamps :

... formation, recrutement, rémunération et donc attractivité. La réussite de nos enfants et l'égalité des chances passent par la qualité de cet accompagnement. De plus, la situation actuelle est plus que difficile, ou plutôt dramatique, pour nos jeunes ; j'en veux pour preuve les travaux de notre commission d'enquête pour mesurer et prévenir les effets de la crise du covid-19 sur les enfants et la jeunesse. J'espère donc que cet amendement pourra être adopté, afin d'inscrire fortement dans ce budget notre volonté d'accompagner nos élèves.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaCécile Rilhac, rapporteure pour avis de la commission des affaires culturelles et de l'éducation :

Cet amendement, qui a été adopté en commission des affaires culturelles et de l'éducation à l'initiative de notre collègue Sylvie Charrière avant de l'être par la commission des finances, propose d'abonder les crédits finançant la mission de lutte contre le décrochage scolaire. Depuis le début du quinquennat, le Gouvernement s'est fortement mobilisé pour la réussite de notre jeunesse, notamment en faisant adopter une mesure forte : l'obligation de formation des jeunes de 16 à 18 ans, qui figure dans la loi pour une école de la confiance et qui s'applique depuis la rentrée 2020. Cette année, les crédits de la mission de lutte contre le décrochage scolaire s'élèvent à 1 616 030 euros, soit une baisse de 2 043 800 euros par rapport à la loi de finances pour 2020. Cette baisse r...