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...forcer notre réponse à l'urgence. Contrairement à ce qu'affirment certains, il ne s'agit nullement de supprimer la régulation médicale : d'une part, il existe déjà une vingtaine de plateformes de ce type en France ; d'autre part, nous ne souhaitons pas supprimer le 15. Les plateformes existantes nous permettent de disposer déjà d'une expérience en la matière : c'est le cas en Haute-Savoie, où le SDIS et le SAMU – service d'aide médicale urgente – travaillent de concert, comme pourrait vous l'expliquer notre collègue Véronique Riotton. Avec ces plateformes communes de régulation des appels, nous simplifions l'accès aux services d'urgence en permettant qu'une réponse collective soit apportée depuis un même lieu réunissant toutes les compétences. Nous sommes face à un véritable enjeu de simplifi...
...mmense majorité des cas, le travail quotidien entre les blancs et les rouges se déroule très bien, fort heureusement pour les Français. Je partage pleinement l'objectif de cet article et me félicite des avancées auxquels il procède en matière de plateformes connectées, que nous devons développer et évaluer. Cet amendement tend à insérer les dispositions concernant la plateforme commune entre les SDIS et les services d'aide médicale urgente dans le code de la santé publique et de préciser que leur mise en place doit se faire dans le respect du secret médical.
Il vise à conditionner l'expérimentation à l'accord des SDIS. Cette proposition est basée sur mon expérience de terrain : le 15 de la Nièvre a été délocalisé à Dijon. En revanche, les appels du 18 restent pris en charge dans mon territoire. Le 112 constitue une bonne expérimentation mais, si elle n'est pas validée par les SDIS, nous craignons que la Nièvre ne perde son CTA-CODIS, par un effet de concentration des forces à Dijon, qui abriterait un plateau u...