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..., la préparation, l'organisation ou le déroulement des Jeux olympiques et des Jeux paralympiques vont en large partie reposer sur les épaules de milliers de bénévoles : entre 45 000 et 70 000, selon le GIP – groupement d'intérêt public – de candidature. Or, par le passé, le recours à ces volontaires a été la source de certains abus. En tant qu'organisation à but non lucratif située en France, le COJOP a des droits, mais aussi des devoirs sur la manière dont vont être traités les volontaires. Nous proposons donc par le présent amendement que le COJOP prévoie, au travers d'une charte du volontariat olympique, les droits, les devoirs, les garanties et enfin les conditions de recours et d'exercice des volontaires. Il sera aussi nécessaire que le COJOP s'engage à faire appel aux volontaires handic...
Nous avons en effet eu ce débat lors de nos travaux en commission. Je suis très satisfaite de l'amendement qui nous est proposé, car il tend à responsabiliser le COJOP sur le recours aux bénévoles, et ce avec l'implication du ministère du travail. Je souhaite donc retirer l'amendement qui viendra bientôt que j'avais présenté sur le sujet : je voterai celui de la rapporteure.
...fices. Cet argent avait été reversé au fonds Fernand Sastre, et permis de financer plus de 2 200 projets liés au football, dont une grande partie pour le sport amateur. L'objectif de cet amendement est simple : si les Jeux olympiques et paralympiques Paris 2024 rencontrent le succès populaire qui leur est promis, alors il nous semblerait normal que l'affectation de 60 % du boni de liquidation du COJOP au terme de l'organisation de cet événement hors du commun pour le sport français profite à l'ensemble des Français et des territoires, notamment des territoires ultramarins. Le Centre national pour le développement du sport – CNDS – , opérateur des politiques de l'État pour l'augmentation des activités physiques et sportives des personnes les plus éloignées de la pratique, me semble être le mie...
...eau européen et international, et le combat livré par l'Agence mondiale antidopage ainsi que par l'autorité de contrôle indépendante que va présider Valérie Fourneyron. Il faut en tout cas que cette idée progresse, et c'est un amendement d'appel. J'aimerais par ailleurs savoir où en est la réflexion du Gouvernement sur la possibilité que la structure « Héritage » bénéficie de l'éventuel bonus du COJO à l'issue des Jeux. Il existe actuellement une structure connue et bien identifiée : le CNDS, opérateur de l'État pour le sport pour tous dans les territoires, dont la gouvernance réunit l'État, les collectivités territoriales et le mouvement sportif. Il met en oeuvre le plan « Héritage Paris 2024 » depuis 2017. Va-t-on plutôt conforter le CNDS dans son rôle de structure, et, avec lui, « Héritag...