Interventions sur "parcoursup"

4 interventions trouvées.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaElsa Faucillon :

Je confirme ce qu'a dit Sabine Rubin sur le démantèlement des CIO. Madame la ministre, pourriez-vous répondre à la question que je vous ai posée ? Comment expliquez-vous qu'au moment où vous avez mis en place Parcoursup, on assiste à un développement sans précédent de boîtes tirant leur revenu de l'orientation des lycéens, prestation qu'elles facturent incroyablement cher ? Les classes supérieures ne sont pas les seules à faire appel à ces boîtes. L'angoisse est si vive chez les classes populaires, qui craignent que l'échec scolaire soit synonyme de mort sociale, que les familles sont prêtes à payer ces sommes ...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaKarine Lebon, rapporteure de la commission des affaires culturelles et de l'éducation :

Il vise à préciser que l'accompagnement personnalisé en vue de la préparation de la procédure Parcoursup doit s'exercer dès la classe de seconde, eu égard à l'importance du choix des spécialités et des options à la fin de cette année scolaire. On constate que les élèves choisissent parfois des spécialités qui leur ferment les portes des formations qu'ils veulent intégrer plus tard.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaKarine Lebon, rapporteure de la commission des affaires culturelles et de l'éducation :

Il tire les conséquences de la réforme du baccalauréat général sur la procédure Parcoursup en imposant la publication des combinaisons d'enseignements optionnels et de spécialités que les CEV entendent privilégier pour l'accès à leur formation. Le terme « conseillés » remplace le terme « indispensables » pour laisser la possibilité aux CEV de retenir la candidature d'élèves n'ayant pas suivi ces enseignements mais dont le profil leur semble néanmoins intéressant. Je saisis l'occasion ...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaMoetai Brotherson :

D'un côté, un monde où tout est parfait et, de l'autre, un monde où, si nous ne disons pas que tout est mauvais, il y a tout de même des choses à améliorer. S'il est angoissant, pour un jeune de Seine-Saint-Denis, de s'orienter dans Parcoursup, imaginez ce que cela peut être pour un jeune de l'outre-mer. Il doit réserver son billet d'avion qui peut lui coûter jusqu'à 3 000 euros ; il n'a aucune garantie de trouver un logement quand il vient ici. Certes, la loi a été votée, mais quand les jeunes d'outre-mer veulent avoir accès à un logement privé, les propriétaires n'acceptent pas que les parents se portent caution : ils exigent un gara...