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... associations sportives scolaires dans le premier degré ? La question est essentielle. Le problème est réglé pour le second degré grâce à l'Union nationale du sport scolaire (UNSS), où 25 % des collégiens sont licenciés, soit un ordre de grandeur assez proche du premier degré, même si le chiffre de 25 % évoqué par Mme la rapporteure renvoie, lui, aux écoles dans lesquelles l'USEP est présente. L'amendement vise à généraliser la création d'associations sportives scolaires dans le premier degré. Dans un rapport remis au Premier ministre en 2016, qui traitait du sport à l'école, Pascal Deguilhem, l'un de nos anciens collègues, et moi-même proposions déjà de les rendre obligatoires au sein des établissements. Mais si, dans le second degré, l'UNSS bénéficie de moyens humains et financiers importants...
Il vise le même objectif que l'amendement précédent. J'entends ce qui vient d'être dit, mais cela ne me satisfait pas du tout : ce n'est pas parce que l'on n'a pas les moyens de faire quelque chose qu'il faut y renoncer. Tout au contraire, il faut s'en donner les moyens. Il manque une assise juridique, dites-vous ; nous sommes-là pour la créer ! Les moyens manquent par rapport aux établissements du second degré et à l'UNSS ; il nous ...
Comme pour l'amendement précédent, avis défavorable.
J'écoute avec attention, mais il y a des choses que je n'arrive pas à comprendre. Pour faciliter l'accès au sport, M. Juanico, à travers l'amendement n° 107, vous a proposé de faire participer les étudiants ; et à présent vous refusez…
J'ai lu les amendements. Je sais que pour beaucoup d'entre vous ici, je ne suis qu'une bac - 2, mais je sais encore lire. Vous refusez donc l'aide des étudiants pour l'accès au sport et, quelques minutes plus tard, lorsqu'on veut que tous les enfants scolarisés dans le premier degré puissent faire du sport, vous répondez qu'on n'a pas les moyens ! Bien sûr, madame Rilhac, il ne faut pas que l'obligation prévue pè...