Interventions sur "viande"

7 interventions trouvées.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaMarc Le Fur :

Encore faut-il qu'ils soient éclairés. En ce qui concerne les viandes fraîches – celles qui sont vendues directement au consommateur dans les différents réseaux de vente – , la qualité de l'information a progressé. Cela n'a toutefois pas du tout été le cas en matière de restauration hors domicile et de plats préparés. D'ailleurs, curieusement, les mêmes qui s'intéressent beaucoup à l'origine des produits lorsqu'ils achètent pour eux-mêmes, s'en désintéressent ou n...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaBarbara Bessot Ballot, rapporteure de la commission des affaires économiques :

L'avis sera le même pour les amendements nos 11, 9 et 8, et il est fondé sur les mêmes arguments. Le Gouvernement a fait ce qui était en son pouvoir pour garantir la prolongation de l'expérimentation de l'étiquetage des viandes jusqu'au 31 mars 2020. Je suppose par conséquent qu'il fournira à la représentation nationale un bilan de l'expérimentation dont j'espère, d'ailleurs, qu'elle sera prolongée. Donc avis défavorable.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaMarc Le Fur :

Dans les restaurants d'entreprise ou dans les cantines, l'origine des viandes composant le produit que vous allez manger n'est pas indiquée, monsieur le ministre, et ce n'est du reste pas obligatoire. C'est bien pourquoi mes amendements ne sont absolument pas satisfaits. Si vous achetez des plats préparés – et les pizzas, que nous avons évoquées, sont loin d'être les seules concernées – , l'origine des produits carnés qui les composent n'est pas mentionnée du tout. Je veu...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaMarc Le Fur :

Le présent amendement concerne une consommation particulière : celle des viandes réfrigérées, congelées ou surgelées. Or ici aussi le consommateur est confronté à un défaut d'information.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaMarc Le Fur :

...férents réseaux de distribution, la qualité de l'information du consommateur a progressé, et je suis le premier à l'admettre – ce progrès est d'ailleurs antérieur à votre arrivée au pouvoir en 2017. Celui qui, quel que soit le réseau de distribution, achète sa volaille, s'il prend le temps de se renseigner, arrive malgré tout à savoir d'où elle provient ; il en va de même pour les autres types de viande. Or ce n'est pas le cas pour la restauration hors domicile, ni pour les plats préparés, ni pour les restaurants d'entreprise et les cantines, parce qu'on ne dispose pas de cette information – point à la ligne.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaSabine Rubin :

... aux OGM – ce qui est le cas de trois quarts du cheptel français. C'est une violation de l'article 7 de la Charte de l'environnement, qui consacre le droit d'information de tous les citoyens, et de son article 1er qui proclame le droit de chacun à vivre dans un environnement sain. Cet amendement, proposé par la Fondation pour la nature et l'homme, s'appliquerait aussi bien aux produits de base – viande, charcuterie, oeufs, lait, beurre… – qu'aux plats cuisinés à partir de ces produits. Ces derniers sont présents dans la grande distribution comme dans la restauration collective – dont scolaire, de la maternelle à l'université. Nous défendons le droit des consommateurs à choisir, mais aussi leur droit d'accéder à une alimentation saine, exempte d'organismes génétiquement modifiés.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaJean-Hugues Ratenon :

...dre obligatoire le Nutri-Score. D'après l'Institut national de la statistique et des études économiques – INSEE – , la composition du panier alimentaire s'est modifiée conjointement au modèle agricole, au profit des produits transformés et des plats préparés. Ainsi, depuis 1960, la consommation de plats préparés s'accroît de 4,4 % par an, en volume par habitant. Les récents scandales sanitaires – viande de cheval dans les lasagnes, oeufs contaminés au Fipronil – ne précipitent pas les entreprises incriminées vers la faillite. En France, selon les données de la sécurité sociale, on comptait en 2010 près de 540 000 décès, dont environ 36 % pouvaient être imputés directement ou indirectement à une mauvaise alimentation. Un tiers des décès est donc lié à une mauvaise pratique alimentaire. Au-delà d...