Les amendements de Elsa Faucillon pour ce dossier
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Les médecins scolaires apprécieront d'eux-mêmes les propos qu'a tenus Mme Calvez au sujet de la compétition qu'ils chercheraient à engager…
En réalité, ils ont besoin d'être considérés pour les services qu'ils rendent et, si l'on ne saurait prétendre que le niveau de rémunération ne joue aucun rôle dans la décision que doit prendre un médecin qui vient de terminer des études longues et difficiles, …
… ce critère n'est pas le seul à être pris en considération : l'intérêt de la profession voire la vocation entrent également en ligne de compte. Cela dit, on ne peut demander aux médecins de vivre leur profession comme un sacerdoce – du moins pas toute leur vie durant.
En tout état de cause, la nation se doit d'adresser des signaux budgétaires constituant une forme de reconnaissance des qualifications, des compétences et des vocations – pas seulement aux médecins, d'ailleurs, mais à tous les personnels de la médecine scolaire. Vous convenez vous-même, monsieur le ministre, que, si la revalorisation ne réglera...
Voter, dans le cadre de ce budget, les crédits qui vont permettre d'engager les restructurations nécessaires, c'est faire un pas essentiel, certes pas suffisant, mais indispensable pour engager le travail sur une question qui se trouve sur la table depuis des années, et que la crise sanitaire a rendue plus cruciale que jamais !
Vous avez eu raison de rappeler l'importance du concours et de la titularisation, madame la rapporteure spéciale, mais vous sous-entendez dans le même temps que les contractuels ne seraient pas à la hauteur, ce qui est pour le moins gênant. Le nombre de contractuels dans l'éducation nationale constitue une vraie question, mais nous devons égal...
Il vise à empêcher la suppression de 1 800 postes dans le secondaire, que j'évoquais tout à l'heure lors de la discussion liminaire. Il est vrai qu'en France, le taux d'encadrement dans le secondaire est bon ; en matière d'éducation, c'est un des rares éléments statistiques pour lesquels nous nous trouvons au-dessus de la moyenne. Vous considér...
Voilà le sens du présent amendement, qui témoigne d'une inquiétude que nous sommes plusieurs à partager vis-à-vis de la tendance à baisser les effectifs du secondaire pour augmenter ceux du primaire.
C'était mon premier amendement ! Affichez le temps, si vous voulez qu'on le respecte, je n'ai pas un chronomètre dans la tête !
Nous proposons là une mesure que nous avions déjà soumise lors de l'examen du projet de loi pour une école de la confiance : l'obligation de scolarisation dès trois ans, mesure que les députés communistes défendent depuis de nombreuses années mais qui pose un problème de financement. Cet amendement est aussi un appel à défendre l'école publique...
Nous sommes nombreuses et nombreux, sur tous les bancs, à vouloir mieux soutenir l'enseignement agricole, à la fois parce que certains de mes collègues sont interpellés sur le sujet dans leurs circonscriptions, ce qui n'est pas le cas dans la mienne, et parce que ce sujet remonte aux des commissaires à l'éducation chaque année au moment de l'ex...