Les amendements de Éric Coquerel pour ce dossier

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Ministres, collègues de la majorité, honte à vous ! À partir de demain, des millions de nos concitoyens seront privés de loisirs, de culture, de sport, de déplacements et, pour certains, de travail et même de droits politiques. Tout cela pour rien. Vous décidez en effet, à partir de demain, de les déchoir de leur citoyenneté sur simple décision...

Pour rien, puisque le passe sanitaire est déjà en vigueur. Et vous savez très bien qu'à partir du moment où les tests ne sont plus gratuits il vaut déjà obligation vaccinale. A-t-il stoppé la vague épidémique en cours ? Non ! C'est tellement vrai que vous laissez maintenant filer l'épidémie. Vous avez pris des décisions visant à atteindre l'im...

pour qu'ils ne regardent pas vers votre politique sanitaire, qui cumule les errements et les erreurs. N'avez-vous pas dit que les masques étaient inutiles, au risque de laisser la contamination se répandre avant le premier confinement ? N'avez-vous pas dit – c'était M. Castex – qu'une personne vaccinée ne serait plus cas contact, au risque de l...

Contrairement à ce que vous avez prétendu, vous n'avez pas réglé la question des brevets libres, absolument indispensables à une stratégie globale – en réalité, vous vous opposez à cette solution. Vous n'avez pas davantage résolu le problème des hôpitaux, et vous continuez à fermer des lits : si les hôpitaux sont engorgés aujourd'hui, c'est vot...

Honte à vous ! Honte à vous, parce qu'en plus vous habituez les Français et vous vous habituez vous-mêmes à un état d'exception anormal. Vous en êtes la preuve vivante : M. Gouffier-Cha, chef de file de la majorité, nous expliquait hier qu'il ne serait jamais question d'imposer un passe sanitaire quotidien, parce que c'était dangereux pour les...

aujourd'hui, de manière démagogique, il défend un passe vaccinal quotidien. Vous nous habituez à une société du contrôle généralisé, une société de l'autoritarisme généralisée. Sachez, chers collègues, que nous ne voulons pas de cette société-là ! Ces mesures font courir tous les risques car, une fois qu'on met le doigt dans cet engrenage, on ...

Vous risquez d'infliger au pays une blessure profonde et durable ; j'espère qu'en avril, nous aurons l'occasion de panser ses plaies.

Il se fonde sur le troisième alinéa de l'article 70 du règlement, qui concerne les mises en cause personnelles. Je suis heureux de vous voir rétabli, monsieur le président, mais permettez-moi de revenir sur les propos que vous avez tenus il y a quelques semaines – vous avez dit que les personnes contaminées étaient responsables de leur propre ...

Arrêtez les frais, arrêtez les dégâts ! Je ne sais pas quelle expression utiliser pour vous le faire comprendre, mais il est urgent, au moment où les Français subissent à la fois une nouvelle vague épidémique et les effets de la pagaille que vous avez semée, de ne pas leur imposer de surcroît une mesure aussi liberticide qu'inefficace. Personn...

en particulier les fermetures de lits. Ils l'ont dit d'ailleurs en manifestant au début de la semaine dernière. Nous aurions également pu réfléchir à une levée des brevets sur les vaccins ,

ou encore aux moyens d'aller vers les populations à risque, notamment vers la catégorie des plus de 80 ans, celle qui connaît le plus fort taux de non-vaccinés – pas tant par refus du vaccin qu'en raison de difficultés à y accéder. Comme le montre l'étude de l'INSERM, c'est du moins le cas de 40 % d'entre eux. Votre politique est d'autant moin...

Ne serait-ce pas une autre caractéristique du macronisme que de nous habituer à des mesures autoritaires et liberticides de contrôle généralisé ? N'est-ce pas le signe que vos préoccupations sont plutôt d'emmerder les Français que de les soigner ?