Les amendements de Fabien Di Filippo pour ce dossier
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Cet amendement vise à simplifier l'alinéa 10 de l'article 3. Aux termes de son intitulé, je le rappelle, le projet de loi a pour objet la « lutte contre le terrorisme », ce qui est bien notre objectif à tous. Vous souhaitez une sortie de l'état d'urgence à tout prix, monsieur le ministre d'État, afin de respecter un engagement cosmétique du Pr...
Vous souhaitez sortir de l'état d'urgence et malgré tout renforcer les moyens de lutter contre le terrorisme. Nous souhaitons donc, pour notre part, vous aider – une fois n'est pas coutume – à mettre l'intitulé du texte en accord avec son contenu. Nous recherchons l'efficacité maximale en ciblant au mieux les personnes les plus dangereuses. Je ...
La solution que je proposais n'était pas d'en revenir à l'état d'urgence : elle était encore plus équilibrée et à géométrie plus variable que le texte en l'état. Je suis donc très déçu de ces avis défavorables et ne les comprends pas. Le projet de loi, selon son titre, ne prétend-il pas renforcer « la lutte contre le terrorisme » ? Une majorité...
Quand je lis l'article 3, que vous défendez coûte que coûte, j'ai l'impression de lire le petit précis des droits du djihadiste.
Ce dernier, suggère en effet l'article, a le droit de mener une vie de famille comme tout le monde. C'est quand même incroyable !
L'équilibre, oui ; une loi, oui, mais son champ doit s'étendre jusqu'à la sécurité des Français, jusqu'à la sécurité de nos enfants !
Mon calme vous surprendra, madame la présidente. Je n'ai pas demandé à être mis en cause personnellement. Vous noterez que je ne choisis ni les gens qui votent pour moi ni ceux qui m'applaudissent ici. Vous-même, mesdames et messieurs les députés de la majorité, m'applaudissiez il y a quelques heures ; si je suis si infréquentable, vous devez v...
Que vous n'acceptiez pas qu'il y ait une France qui ne se sente ni défendue ni protégée par vous – une France des territoires, des oubliés – et que nous portions ici sa voix, …
… que nous la défendions, tant pis ! Vous pouvez vous en prendre à moi toute la nuit. Si je ne porte pas cette voix, mes collègues le feront. Nous ne nous arrêterons jamais !