Les amendements de Florence Provendier pour ce dossier

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Cet amendement, déposé à l'initiative de ma collègue Perrine Goulet et que j'ai cosigné, vise à élargir le champ de la soustraction à l'obligation alimentaire, fixé à l'article 207 du code civil, au-delà de ce que prévoit la rédaction de la commission. Elle serait étendue, au-delà des cas de crime, à ceux de condamnation d'un parent pour des fa...

Même si j'ai entendu vos remarques, vous comprendrez que je maintienne cet amendement car je le défends au nom d'une collègue.

Cet amendement de Mme Goulet, dont je suis cosignataire, tend à préciser le champ de la soustraction à l'obligation alimentaire prévue par l'article 207 du code civil et modifié par la commission, afin de prendre en compte les enfants victimes de violences commises par leurs parents. En effet, en dépit d'une jurisprudence allant dans ce sens, i...

L'amendement no 205 rectifié tend à rendre obligatoire la prise en considération de la parole de l'enfant lors d'une procédure visant à déléguer l'autorité parentale, conformément à l'article 388-1 du code civil, qui dispose que, dans toute procédure le concernant, le mineur capable de discernement peut être entendu par le juge, qui l'informe d...

Nous sommes absolument d'accord sur le fond. Mes deux amendements visent à apporter des précisions à l'article 388-1 du code civil. Ils ont été inspirés par des retours d'expérience que j'ai recueillis dans le cadre de mes engagements associatifs : dans les faits, bien que l'audition de l'enfant soit prévue, on ne s'interroge pas systématiqueme...

Il diffère des précédents. Quand un enfant assiste à des scènes de violence conjugale, les conséquences sur sa santé et son développement peuvent être importantes : anxiété, syndrome de stress post-traumatique, perte d'estime de soi, construction identitaire fondée sur des convictions stéréotypées concernant les femmes et les hommes… Il y a ég...

Je vous remercie infiniment pour ces précisions encourageantes. Vous l'aurez compris, ma préoccupation est de m'assurer qu'on prenne soin de chacun des enfants victimes de tels traumatismes, directement ou de manière collatérale ; compte tenu des assurances que vous donnez, je retire l'amendement.

Il concerne toujours ma préoccupation première, à savoir que la parole de l'enfant soit entendue et recueillie dans des conditions adaptées, dès qu'il est capable de discernement. Je ne le défendrai pas plus longtemps, puisque le contenu est le même que celui de mes précédents amendements. J'ai bien entendu les réponses qui m'ont été faites, m...