Les amendements de Frédéric Descrozaille pour ce dossier

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Je tenais à m'exprimer sur une question autour de laquelle nous tournons depuis la défense des amendements de suppression. J'entends des accents de sincérité évidents chez nos collègues, et je remercie notre collègue Jean-Luc Mélenchon d'avoir eu quelques mots d'excuse au sujet des débordements qui ont pu viser les députés de La République en m...

Ce que nous voulons, c'est leur permettre de se mettre d'accord avec des salariés qui seront responsabilisés, et non pas défendus, « à l'insu de leur plein gré » pour ainsi dire, par une loi qu'ils ne connaissent même pas, tant elle est compliquée.

Nous voulons leur permettre de se mettre d'accord sur ce qui s'applique à l'entreprise, à son marché, à ses clients, dans le respect de leurs intérêts. Parce que nous ne saurions présumer être capables de penser à tout, à tous les secteurs, à tous les métiers de France et de Navarre, nous allons les laisser se mettre d'accord pour régler les si...

On retrouve les mêmes arguments que tout à l'heure, et il faut répéter les nôtres. Il n'est pas vrai que la loi s'évapore. Elle est réduite à l'essentiel : elle sera donc mieux connue. Une protection qui se fait malgré les personnes protégées ne les respecte pas. Il s'agit de les responsabiliser.

La loi sera connue des personnes auxquelles elle s'applique. Il s'agit simplement de laisser plus d'espace et de marge de manoeuvre à la négociation contractuelle. Dans la vision du contrat que fait valoir M. Mélenchon, la signature du salarié est pratiquement inutile. Il suffirait que l'employeur dise : voici la loi qui s'applique et, si vous...