Les amendements de Guillaume Peltier pour ce dossier
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Ma question s'adresse à M. le Premier ministre. Nous, députés de la nation, voyons chaque jour nos compatriotes s'alarmer à juste titre du travail qui ne paye pas, des salaires trop bas, des impôts trop lourds et des provinces méprisées. Mais partout, les Français nous parlent aussi, à voix basse ou avec éclat, du grand défi de notre siècle, qu...
La France doit se lever ! C'est au prix de cette fermeté que nous pourrons refaire de notre nation le grand pays de l'unité nationale. Ma question est simple, monsieur le Premier ministre : que comptez-vous faire maintenant – j'ai bien dit : maintenant – pour éradiquer l'islam politique et rétablir l'autorité et la fermeté dans notre patrie ?
Ma question ne s'adresse ni à l'ancien ni au nouveau monde, mais au ministre d'un monde qui souffre : M. le ministre de l'éducation nationale. C'était le 17 juillet 2017, un lundi matin, au Sénat ; c'était la 1ère Conférence nationale des territoires. Emmanuel Macron s'avance devant nous. Le ton est grave, le verbe haut, l'ambiance solennelle,...
Pourtant, il y a quelques jours, nous avons appris la disparition programmée de plusieurs centaines de classes dans nos villages et nos campagnes : soixante-six fermetures dans le département des Vosges, cinquante et une dans l'Oise, …
… vingt-deux dans le Vaucluse et trente-quatre chez moi, dans le Loir-et-Cher ! Comment un engagement si clair peut-il être rompu et la confiance à ce point trahie ? Je me fais donc en cet instant, avec tous Les députés du groupe Les Républicains, le porte-parole de millions de Français : parents, élus locaux, élèves et instituteurs rappellent...
Monsieur le Premier ministre, je ne voudrais pas, par cette question, briser le bel unanimisme médiatique qui préside aux commentaires sur l'avenir de l'Europe. J'évoquerai deux questions essentielles : le travail détaché et le CETA – l'accord économique et commercial global entre le Canada et l'Union européenne. Par l'action magistrale – dit-...
… seraient enfin passés de l'ombre à la lumière. Et pourtant, sur la question du travail détaché, vous avez privilégié la concurrence déloyale plutôt que la fin des cotisations sociales du pays d'origine. Vous avez sacrifié le transport routier français sur l'autel d'un accord illusoire sur la durée du détachement, qui dans les faits ne réglera...
… faire croire plutôt que faire. Peut-être pourrions-nous nous consoler avec le CETA ? Hélas, la désillusion de nos compatriotes sera à la mesure de la grande illusion pratiquée par votre gouvernement. Le CETA, c'est un déni démocratique.
Comment accepter qu'un traité commercial puisse être appliqué en France, sans que ni le Parlement français ni le peuple français lui-même n'en soient saisis ?
Le CETA, c'est un drame économique pour nos paysans qui subiront encore les importations déloyales. Le CETA, c'est un scandale juridique car désormais des multinationales pourront traduire devant les tribunaux les États et les peuples souverains. Vous aviez là pourtant une opportunité historique de tourner le dos aux excès de l'ultra-libéralism...
Monsieur le Premier ministre, ma question est la suivante : quand renoncerez-vous à l'ultra-libéralisme ? Quand allez-vous enfin protéger nos travailleurs, nos ouvriers, nos paysans ?