Madame la présidente, madame la ministre, mes chers collègues, il est tristement singulier qu'en 2005, nos dirigeants de l'époque ne se soient pas associés à la déclaration no 52 reconnaissant les signes, symboles et emblèmes d'une Union européenne à laquelle ils prétendaient pourtant rester associés, mais la bouche, les oreilles et les yeux obstinément fermés.
Nous voterons, bien entendu, la résolution…