Ainsi, madame Calvez, vous trahissez – et c'est tout à votre honneur – ce qui devait rester secret, vous rendez visible le cordon ombilical qui relie ce texte aux producteurs, toute mesure de contrainte à leur encontre étant refusée, ce qui n'est pas le cas pour les consommateurs, dorénavant responsabilisés à mort. Nous ne cessons de dire – et le débat reviendra, madame la ministre – que les producteurs doivent être un tant soit peu responsabilisés, et pourquoi pas contraints, dans leur mode de production.