Gérer une crise sanitaire, c'est conjuguer une batterie de critères. Il y a évidemment en premier lieu les critères épidémiologiques et sanitaires – et donc, oui, les avis des scientifiques et des médecins. Je veux le dire et le répéter devant la représentation nationale et devant la nation tout entière : il n'y a pas d'opposition entre le pouvoir politique et le pouvoir médical. Nous tenons le plus grand compte des avis, des analyses, des modèles et des prévisions des experts et des conseils scientifiques et médicaux.