Madame la présidente, je me permets d'interrompre quelques instants nos débats parce que je vois qu'un article, publié sur internet, revient sur ce qu'il appelle un « incident » dans notre commission. Vous avez tout à l'heure dit qu'un amendement était rejeté alors qu'il n'avait pas encore été mis au vote. Je ne voudrais pas laisser penser une seule seconde que la présidente ne ferait pas correctement son travail. Il n'y a au contraire rien à lui reprocher. Dans le bal continu des avis et des mises aux voix, tout le monde peut se tromper : que celles et ceux qui nous regardent sur internet n'aient pas le sentiment qu'il y aurait un manque de sérieux dans les rangs de la majorité. Ce serait une caricature.
Pardon encore, madame la présidente, mais il me semble qu'il me revenait de faire cette petite mise au point.