Présider la France, la gouverner, ce n'est jamais s'abstenir d'empathie pour les Français. Présider la France et la gouverner, c'est partager le destin de nos concitoyens, donc compatir à leurs blessures.
Vous venez devant le Parlement pour aborder le troisième confinement, et je dis bien « confinement » : dès lors qu'on ferme les écoles et qu'on demande aux Français de rester chez eux, cela s'appelle bien un confinement.