Cet amendement pourrait même avoir un effet contreproductif puisque l'article 41 de la loi anti-gaspillage prévoit que les contenants réutilisables peuvent être mis à disposition du consommateur par le commerce de vente au détail. Il peut s'agir de contenants en verre, voire de certains contenants en plastique. En imposant l'emploi d'emballages biodégradables, on risque de limiter le développement du vrac, à l'encontre de ce que nous souhaitons. L'avis est donc défavorable.