J'ai peut-être fait un raccourci, mais l'ADEME dit bien qu'au-delà de 260 kilomètres, cela devient problématique.
Si je suis un producteur de l'agro-industrie, je place des usines dans un périmètre correspondant à ce que l'ADEME a calculé pour des soft drinks pleins de sucre – alors que la Châteldon, chère au président Chassaigne, restera dans les monts d'Auvergne et ne pourra évidemment pas faire la même chose. Nous prenons donc le risque de tuer nos sociétés productrices d'eaux minérales, au bénéfice d'industries internationales du sucre.