Monsieur le Premier ministre, vos diversions ont assez duré. Votre Gouvernement se donne un mal de chien pour construire de toutes pièces des polémiques à mille lieux des préoccupations quotidiennes des Français. Votre objectif : évacuer la question sociale du débat public. Peine perdue ! Vous n'échapperez pas à la réalité à laquelle votre politique concourt. Un cataclysme social est en cours.
À côté des entreprises qui pâtissent de la crise et qu'il faut soutenir se cachent les coronaprofiteurs