Ce système – importer des fraises de l'autre bout de l'Europe et émettre du CO2 pour gagner quelques centimes d'euro de marge, alors que notre pays en produit – paraîtra abscons à nos successeurs. Au lieu de l'invoquer et de le perpétuer, je vous invite à adopter les amendements déposés par les collègues de mon groupe, car ils s'attaquent au coeur du sujet. C'est de cela que nous devons débattre ! Tant que nous refuserons de trancher le noeud gordien, nous danserons autour de lui et maintiendrons un modèle qui émet beaucoup de CO2.