Je vous rejoins, madame Bonnivard, quant au défi que nous devons relever. L'objet de la stratégie Aires protégées, que j'ai présentée en début d'année, est précisément de retrouver ces équilibres, d'offrir une protection à la française, redonnant aux activités humaines leur place dans leur espace naturel. Néanmoins, l'amendement, qui vise la gestion des espaces naturels et des espèces sauvages, ne relève pas de la loi sur l'eau ni de l'article L. 210-1 du code de l'environnement. Par conséquent, j'émets un avis défavorable.