… mais en appliquant les prescriptions du préfet.
Comme vous, je reçois très régulièrement de nombreuses sollicitations à ce sujet : je constate qu'elles ont été efficaces. Je connais la passion des défenseurs des moulins. Ils ont parfaitement le droit d'écrire à tous les députés, de leur envoyer des argumentaires, mais on peut aussi y répondre. Monsieur de Courson, vous évoquiez le cas de l'Orne. J'ai reçu comme vous les argumentaires que les défenseurs des moulins ont diffusés très largement à ce propos : les chiffres qu'ils retiennent concernent l'évolution des populations de poissons migrateurs depuis 2010, alors que des réponses biologiques existaient depuis longtemps, puisque les aménagements sur l'Orne sont bien antérieurs.