Il est évident, comme vient de l'indiquer M. le rapporteur, qu'il ne faut pas rendre obligatoire l'enseignement de nos belles langues régionales, mais il existe une différence entre le fait de le rendre obligatoire et celui de permettre à l'ensemble des élèves d'y avoir accès. Or il nous reste une importante marge de progrès dans ce domaine, raison pour laquelle nous considérons qu'il est pertinent de préciser que les politiques publiques doivent permettre à l'ensemble des élèves d'avoir accès à cet enseignement. Nous sommes néanmoins attachés, comme l'a excellemment indiqué notre collègue Ravier, à un vote conforme, ce qui me conduira à retirer mon amendement.