Il y a donc du travail, je le concède, et je constate aussi que la crise sanitaire nous a sans doute fait perdre un temps précieux, tout autant qu'elle aura mis en lumière nos propres insuffisances. Rouvrir la discussion sur le cadre juridique nécessite le temps d'un débat parlementaire, évidemment, mais aussi, je le crois profondément, d'un débat national impliquant les Français, les associations, les soignants, les corps intermédiaires.