C'est avec beaucoup d'émotion et d'humilité que je prends la parole devant vous cet après-midi. En effet, sur ces questions, mon opinion a évolué ces dernières années, influencée à la fois par mes quarante ans d'expérience professionnelle de soignant, par les drames familiaux que j'ai vécus et, malheureusement, après que des amis m'ont été retirés dans des conditions absolument dramatiques.
Merci, cher Olivier Falorni, d'avoir défendu avec brio, avec panache, avec courage un tel texte, en expliquant même – je tiens à le dire devant tous les collègues – que c'était non pas votre proposition de loi, mais celle de l'ensemble de l'Assemblée nationale.