Je regrette sincèrement que le débat ne puisse pas se tenir dans la sérénité, au sein de la société comme à l'Assemblée nationale. Un tel débat ne doit pas être mis en scène ; il mérite mieux et doit être l'occasion d'un dialogue profond dans la société. Sans doute un tel dialogue a-t-il eu lieu lors de l'examen des précédents textes relatifs à la fin de vie, mais il n'a pas été suffisant pour cette proposition de loi. Tel est, au fond, mon regret. Si le texte n'est pas adopté aujourd'hui, j'espère que, tôt ou tard, ce dialogue aura lieu.